Rangiku va chez Byakuya

Ce matin la Byakuya se leva d'assez bonne heure, pour ne pas reveiller tous le monde il mis son unniforme de capitaine de la 6eme division et sortis, l'air etait bon, les fleurs roses des cerissier briller sous la lune qui etait encore presente. Il continua a marcher en pensant a Hissana sa femme qui as perdus la vie devant lui, en lui prometant de proteger sa soeur Rukia, il regarda le ciel et dit:
-Hissana je te jure que je protegerer Rukia ne ma fierte et de ma vie.
Byakuya decita d'aller se promener dans les quartier de sa division, le soleil commencer a faire son entrer sur la soul socity. En route il croissa Rangiku et lui dit:
-Que fait tu dans ma division Matsumoto???

Ce matin, je m'étais levée très tôt, sans réelle raison. Au détour d'un sommeil léger avait émergé l'envie de réveil, et je l'avais écoutée. Me levant, j'avais avancé jusqu'à ma salle de bain, et avait répandu sur mon visage une eau vivifiante. Ma coiffure arrangée, mon uniforme enfilé, je m'étais assise. Dans les chambres voisines, tous dormaient encore. Je ne voulais pas me recoucher. Mais je n'avais aucune idée de ce que je pouvais bien faire pour m'occuper. Alors, écoutant des instincts muets, je m'étais levée et avait passé la porte. Dans un geste fin, je la refermai, et me tournai vers les couloirs. La démarche rêveuse, je les arpentais, perdue entre mes pensées et la paysage sobre et martial des bâtiments du Gotei treize. Bientôt, je quittais les quartiers de ma division, marchant toujours sans savoir où j'allais. Les minutes s'écoulèrent, et j'arrivais dans les quartier de la sixième, la division de Byakuya Kuchiki. A l'horizon, le soleil se levait peu à peu. J'avais toujours l'esprit ailleurs lorsqu'une voix me ramena à la réalité. C'était celle du capitaine des lieux.

- Bonjour capitaine Kuchiki.

Je ne savais pas trop quoi lui répondre. Alors je choisis la vérité.

- Je me suis réveillée tôt ce matin, je ne sais pas trop pourquoi. J'ai eu l'idée de me balader. J'espère que ça ne vous dérange pas.

Je lui souris. Je me sentais de bonne humeur, même si lui était réputé pour sa froideur.

Le capitaine de la 6eme division attendit la reponce de Rangiku. Quand elle lui repondus il y avait un blanc de sillence puis lui dit:
-Tu n'as toujours pas repondus a ma question. Mais c'est pas grave, je te donne l'ordre de rentrer a ta division sinon j'en fait un rapport au capitaine Histugaya. Alorz trace ton chemin. Le capitaine Kuchiki commenca a retrasser sa route. Il fut arreter par la voix de Rangiku.

Il y eut un silence. Puis l'homme répondit. Et vue la réponse qu'il m'adressait, sa réputation de froideur n'était pas usurpée. Si je n'avais pas été devant lui, si je n'avais pas redouté de l'énerver encore plus que ce qu'il paraissait déjà être, j'aurais soupiré. D'un soupir explicite qu'on remarque et qu'on comprend. Mais il était toute de même Capitaine de l'une des divisions et je lui devais le respect. Sans même attendre une réponse de ma part, il se retourna et s'éloigna de moi. Mais je tenais à poursuivre la discussion. Cet homme m'intriguait. Son visage impassible, son air grave, son silence. Il n'aimait pas parler, et vivait sa vie dans une noblesse sombre mais fascinante. Je décidais donc de lui répondre d'une façon résignée et respectueuse. La seule façon de l'aborder qui avait peut être une chance d'obtenir une réponse autre que "Je t'ordonne de rentrer".

- Je vous présente mes excuses capitaine Kuchiki. Je pensais que la réponse que je vous avais donné vous suffirait. Si vous permettez, je vais la compléter. Je ne fais rien de spécial dans votre division, je suis ici parce que je marchais comme ça, sans vraiment penser à où j'allais. Encore désolée.

Je pris une profonde inspiration. J'espérais vraiment qu'il accepterait de parler avec moi.

- Capitaine Kuchiki, je voudrais vous poser une question. Pourquoi êtes-vous si distant ? Je ne faisais que marcher, ça n'a rien de mal. J'étais silencieuse.

Je n'avais plus qu'à espérer qu'il ne prenne pas cela trop mal. Parce que sinon je sentais qu'Histugaya allait me refiler toute la paperasse après avoir entendu l'éventuel rapport mentionné par Kuchiki.

Je continuait toujours a marcher sans ecouter se qu'zvait a dire Rangiku. Mais au bout d'un moment je me retournais car se qu'avait dit Rangiku m'avait guere plus et d'une voix froide je lui dit:
-Cela ne te regarde pas, ne me parle pluz de sa daccord, et retourne dans des quartiers.
Puis je commencer a repartir.

Sa carapace était solide. Il restait de marbre, il refusait de me laisser lui glisser le moindre mot. Et il continuait de m'ordonner de retourner dans mes quartiers. Seulement, ses refus et ses ordres ne faisait qu'augmenter mon envie de découvrir son histoire. De plus, en moi naissait une envie un peu stupide, mais qu'au fond je trouvais juste. L'envie de l'aider. Parce qu'un homme qui rejette les autres et préfère demeurer solitaire est forcément quelqu'un qui cache un lourd passé, une grande mélancolie. Alors bien sur, l'idée seule de vouloir aider Byakuya Kuchiki, Capitaine de la sixième division sonnait un peu comme une blague, mais rien à faire, j'y tenais. De plus, maintenant que j'avais commencé à le questionner, j'étais certaine qu'il allait parler de cela à mon capitaine. Alors tant qu'à faire, autant continuer ce qui était déjà commencé. Rapide et ondoyante, je me rapprochait de lui, malgré son ordre de regagner mes quartiers. C'était la deuxième fois qu'il me tournait le dos pour repartir, il allait peut être vraiment mal le prendre. Tant pis.

- Je suis vraiment désolée capitaine Kuchiki. Mais je pense que ce n'est pas bon pour vous de vous enfermer dans le silence et de garder vos problèmes. Vous vous faîtes du mal. Je ne peux pas rester à vous regarder vous tourmenter comme ça sans essayer de vous aider. Que vous le vouliez ou non.

Soudain, de mes yeux de cristal, je perçus son regard noir de jais, sombre et noble. Et sans même m'en apercevoir, je fis quelques pas en arrière. J'étais peu être allée un peu trop loin.

Quand je suis partis la vice capitaine de la dixieme division contituait a me parler se qui commencer a m'enerver, quand elle a fini de parler il as eu un grand blanc et je la regarda, j'ai pus apercevoir quelle fit quelle que pas en arriere et je lui dit:
-Tous tu te mele de sa??? Je t'est dit de me laisser tranquil. Je n'est besoin de perssone pour m'aider.
J'etait enerver sur ces parole de Rangiku. Je continua a la regarda et j'attendit sa reponce pour envie pouvoir partitr faire un rapport a Histugaya.

Il me fixait, toujours fermé. Intérieurement, je ne pus m'empêcher de me dire que je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi entêté. Il refusait toujours de parler, et pourtant de mon coté, je refusais moi aussi d'arrêter de le questionner. J'en étais persuadée, ça lui ferait du bien. Plus de bien que ce qu'il pourrait admettre. Un instant, je réfléchis. Je ne savais pas trop quoi lui répondre, mais ce qui était sur, c'est que j'allais lui répondre quelque chose. Juste le temps de trouver. Je me sentais un peu blonde parfois. Enfin. Soutenant son regard, je redressais le buste, et dit, la voix décidée :

- D'accord. Je suis persuadée que ça vous ferait du bien d'en parler. Beaucoup de bien. Mais si ça vous amuse de rester dans vos problèmes, tant pis. Par contre, je ne vois pas pourquoi nous ne pourrions pas discuter comme deux collègues. Vous savez, ça doit être dur pour les membres de votre division.

Je n'abandonnais pas l'idée de découvrir son histoire et de le faire parler. C'était simplement une distraction, un changement de stratégie, pour un petit moment. Cependant, alors qu'il était sur le point de me répondre, je ne pus m'empêcher d'ajouter :

- Et vous savez vous même que vous avez besoin de parler. Pourquoi êtes vous si entêté ?

Je continuait a la regarder droit dans les yeux enerver puis elle continuait a me dire que je devais lui parler. Je baissa la tete puis je soupirer et je lui dit:
-Je vois que tu ne veut pas partir, mais je veut juste te dire que je gerer ma division comme je le decide, a ce que j'en sert le capitaine de cette division c'est moi.
Apres de lui dire se que j'avais a dire j'utilisse le shenpo pour ensuite tombes sur un toit d'un de mes batiments, je continuais a marcher, puis j'attendit une voix je me retourna et j'ai vus que Rangiku m'avais suvit, pourquoi j'en sere rien. Je lui dit:
-Mais qu'est ce que tu me veut a la fin. Tu vas retournait dans tes quartier avant que j'y aille pour faire mon rapport a tonc capitaine.
Je repartis encore une fois en lui montrant mon dos.

Finalement, parce que j'étais décidé à ne pas le lâcher, Byakuya décida de s'en aller par ses propres moyens. Après m'avoir adressé une réponse tranchante, précédée d'un soupir, il utilisa le shunpo et me laissa seule dans les quartiers de sa division. Cependant, j'avais fort à parier qu'il s'était rendu sur les toits. Un instant, je réfléchis. Je n'aurais peut être pas du lui faire ce reproche sur son manque de communication dans sa division, qui n'était pas vraiment juste. J'aimais parler avec tout le monde, créer une bonne ambiance. Ce n'était pas son cas, mais sa façon de gérer sa division était aussi très efficace. Il était trop respecté pour avoir à hausser la voix, et son manque d'intérêt évident pour les choses vaines donnait l'impression qu'il était au-dessus des petites choses pathétiques de ce monde. Cependant il était tourmenté, et maintenant que j'en étais sure, je tenais à faire tout mon possible pour lui parler. Au moins pour obtenir une réponse plus consistante que celles que j'avais récoltées jusqu'à présent, même s'il ne voulait pas me livrer toute son histoire, tous ses soucis. Parce que jusqu'ici, il avait totalement refusé le dialogue, répétant inlassablement le même ordre. C'est sur cette pensée que je coupai court à ma réflexion. S'il avait tenté de me faire abandonner, c'était raté. J'étais plus décidée qu'à chacune de mes précédentes tentatives. Vive, j'utilisai à mon tour mon shunpo. J'étais quand même une vice-capitaine.

Et il était là, debout sur le toit. Lentement, je m'avançais. Lui aussi marchais. Soudain, il s'aperçut que je le suivais encore, et cette fois ci se retourna fermement face à moi. Cette fois-ci, j'allais lui répondre franchement. Lui balancer mes pensées et ses vérités. Alors lorsqu'il me tourna le dos une nouvelle fois, je lui dis d'une voix forte :

- Ce que vous veut ? Je vous comprendre. A la base, je voulais même vous aider, mais visiblement, ce ne serait qu'une perte de temps. Je ne rentrerai pas à ma division tant que vous ne m'aurez pas parlé. Je vous le redemande, pourquoi êtes vous si froid ?

J'ecouter se qu'avait a dire Rangiku. Mais se fut une tres mauvaisse ider car elle voulais toujours savoir pourquoi j'etait froid envers tous le mondes se qu'il ne la regarde pas. Mais si je l'ammene directement dans ces quartier pour faire mon rapport de cette histoire. Mais d'abord je vais lui dire une choses qui resque de ne pas lui plaire:
-Pourquoi obsine tu pour avoir une reponce de ma part??
Je decidis de monter un peut le ton comme pour donner un orde au shinigamis de ma division:
-Je pense que tu c'est que tu est dans mes quartier, alors maintenant tu part d'ici okay!!!!
Je pense vus comment je lui est dit elle doit partir et meme si elle ne le fait pas j'irais quand meme faire mon rapport au capitaine Histugaya.

Cette fois-ci, je crois que j'avais définitivement dépassé les limites de la tolérance de Byakuya. Et ma tentative de l'aider prenait des airs à peine dissimulé de harcèlement. Pourtant, je ne pouvais pas comprendre pourquoi il s’obstinait. Pourquoi il gardait ses peines pour lui seul. Enfin, certaines personnes n'étaient surement pas prêtes à être raisonnées. Byakuya en faisait partie. Mais si jamais il se décidait à parler, je me promis d'être là. L'allure digne, je fis volte face.

- Si c'est vraiment ce que vous voulez.

Et sans attendre de réponse, je m'éloignai de lui avec un déhanché fier.

Rangiku etait toujours devant moi entraine me parler puis quand elle a finit elle partiz avec un teancher fier se qui me plaiser guere. Quand je sentis que sa pressions spirituelle commenca a s'eloignier j'utillise le shenpo pour aller dans les quartier de la dixieme divisions en moin de 10scs. Je tomber avec la personne a qui je voulait parler au capitaine Histugaya. Avant qu'il prenne la parole je lui eit:
-Il faudrait aprendre le respect a des suberdonnes car ce matin j'ai pus avoir un harcellement de ta vice capitaine.
Je partis tous de suite et je recendit la pression de Rangiku qui alla envers son capitaine. Arriver dans ma divisions je marchait en penssant ce aue ma dit Rangiku pour ensuite allais travallier avec Renjie dans mon bureaux.

Dans mon dos, Byakuya utilisa le shunpo. Il n'y a pas à dire, il était très rapide. De mon coté, je préférais me rendre à ma division en marchant. C'était plus tranquille et je n'avais aucune envie de me retrouver tout de suite face à Hitsugaya. Mais il fallut que ce moment arrive. Je venais de pénétrer dans les quartiers de la dixième division quand je sentis la puissance spirituelle du capitaine Kuchiki s'éloigner. Et celle d'Histugaya se rapprocher furieusement de moi. Il avait l'air vraiment en colère. Lorsque j'en eus l'occasion, je tentai de me justifier, mais je savais pertinemment que ce n'était pas utile :

- Mais Capitaine, j'essayais de... l'aider.

Vu sa réaction, j'aurais simplement dut me taire. Hitsugaya hurlait à un point inimaginable. Je ne l'écoutais plus, déjà prête à subir les conséquences de mon acte. Corvée paperasse. Au moins, j'avais essayé de faire une bonne action.